c.
Als Goethe sie zum ersten Male in ihrem Logis besuchte, regalirte sie ihn mit der Erzählung, wie sie Schiller's Bekanntschaft in den Zimmern der Herzogin gemacht habe. Beide waren zur regierenden Herzogin selbst geladen und fanden sich da, bevor die Herzogin selbst erschien, in ihrem Zimmer. »J'y entre, j'y vois un seul homme grand, maigre, pale, mais dans un uniforme avec des épaulettes, Je le prends pour le commandant des forces du duc de Weimar, et je me sens pénétré de respect pour le général. Il se tient à la cheminée dans un silence morne. En attendant je me promène dans la chambre. Puis vient la duchesse et me présente mon homme que j'avais qualifié de général sous le nom de Mr. Schiller. Me voilà toute interdite pour quelques instants. – ›Que penserez vous donc de moi,‹ repondit Mr. Goethe ›si vous me verrez dans le même costume?‹ (Es ist die Weimarische Hofuniform, die Goethe auch trägt, wenn er an den Hof geht.) ›Ah, je ne m'y tromperais point, et puis cela vous ira à merveille à cause de votre bonne et belle – avec un geste fort significatif – rotondité.‹«
[257]